Authentique depuis un demi-siècle

“C’est l’authenticité et la pérennité qui rendent une maison de titres spéciale, dans ce monde fait d’apparences trompeuses…”

La société

BONDPARTNERS SA (BPL) est une société financière suisse, fondée en 1972. Elle est autorisée au sens de la Loi fédérale sur les établissements financiers (LEFin) en qualité de maison de titres; elle est de ce fait soumise au contrôle de l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA).Elle est en outre membre de l’Association suisse des banquiers (ASB), membre de l’International Capital Market Association (ICMA) et reporting member de la Bourse suisse (SIX Swiss Exchange).

Sise à Lausanne, BPL est cotée sur le marché OTC-X de la Banque Cantonale de Berne. Elle accomplit diverses activités de négoce, d’entremise, d’intermédiation et de courtage sur divers marchés à l’usage des intervenants professionnels et des investisseurs institutionnels, tels que les banques, les gérants de fortune, les fonds de prévoyance, les compagnies d’investissements et d’assurances, les sociétés de bourse et autres intermédiaires financiers etc. Elle figure parmi les organisations importantes de son secteur en Europe.

Annonces spéciales

Rapport Annuel 2022

MADE in 1972

Avec un intervalle d’un demi-siècle, les événements offrent d’étonnantes similitudes avec 1972, année de la création de Bondpartners. Les sujets tels que la guerre, l’approvisionnement énergétique, l’environnement, l’inflation ou encore le terrorisme, ainsi que d’autres préoccupations, sont encore d’actualité, accompagnés qu’ils sont, encore et toujours, de leur cortège d’atrocités, de crises et de drames. A l’évidence, cette impression de déjà-vu ne saurait occulter, les nombreux changements advenus depuis 50 ans, qu’il s’agisse de progrès technologiques et scientifiques, de développements économiques et financiers, d’avancées politiques et évidemment sociétales.
En 1852, Karl Marx écrivait : «Hegel fait quelque part cette remarque que tous les grands événements et personnages de l’histoire se produisent pour ainsi dire deux fois, mais il a oublié d’ajouter : la première fois comme une tragédie, la seconde fois comme une farce». En marge du débat philosophique sur la mouvance de l’histoire «universelle» ou de l’interprétation du caractère matérialiste ou idéaliste de la dite histoire, et faute de répétitions plus ou moins à l’identique, on peut toutefois repérer certaines analogies parfois troublantes, comparaison n’étant pourtant pas raison.

Communiqués de presse