Bondpartners : Bénéfice en ligne avec l’exercice précédent et augmentation du dividende ordinaire qui sera proposé aux actionnaires.

L’année sous revue a été à nouveau caractérisée par un accroissement des volumes et une amélioration de la plupart des revenus, à l’exception des résultats de change, ainsi que par une progression des valorisations des portefeuilles de titres détenus pour compte propre. Sur le plan des comptes individuels, la finalisation du processus de rapatriement des actifs de la filiale établie à Gibraltar a dégagé un produit sur participation bien plus modeste qu’en 2012, alors que les résultats sur transactions ont avancé de près de 7%. Sur le plan des comptes consolidés, le résultat net est sensiblement supérieur à celui de l’année passée, compte tenu de l’élimination du dividende intersociétés. Les fonds propres ont progressé.

La société-mère affiche un profit net en léger recul de 4% à CHF 2,5mio (vs CHF 2,6mio en 2012), alors que le groupe enregistre un bénéfice de CHF 2mio (vs une perte de CHF 4,7mio en 2012). Un dividende ordinaire de 30% (2012 : 25%) sera proposé aux actionnaires.

Le total du bilan statutaire a augmenté de 8% à CHF 147,8mio, essentiellement en raison de l’accroissement des avoirs auprès des banques. Il est composé à raison de 93,5% d’actifs circulants, à savoir cash et créances sur les banques (CHF 73,1mio), créances sur la clientèle (CHF 3,9mio) et portefeuilles titres (CHF 61,1mio). Les fonds étrangers atteignent près de 60,3mio (+17%).
Sur le plan des fonds propres individuels, leur total s’établit à CHF 55mio (+1,5%). Quant aux correctifs de valeurs et provisions, ils se montent à près de CHF 31mio (+5%) suite à la nouvelle constitution à charge du compte de résultat.

Sur une base consolidée, les actifs circulants s’établissent à CHF 134mio et les fonds étrangers à CHF 57,5mio. A l’exclusion des réserves et provisions pour propres actions (CHF 4,3mio) et pour impôts latents (CHF 6,7mio), les capitaux propres atteignent, quant à eux, CHF 76,6mio (+1,5%). Toujours à ce sujet, les réserves pour risques bancaires généraux ont avancé de 3% à CHF 35,3mio et les réserves issues du bénéfice s’élèvent à 33,9mio (-16%, suite à l’élimination comptable du dividende inter-sociétés).
L’adéquation des fonds propres individuels de base (Tier 1) et celle des fonds propres complémentaires (Tier 1+2) s’élèvent respectivement à 29% et à 43,5%.

Au chapitre des comptes de résultat, les produits globaux des opérations d’intérêts s’élèvent à CHF 2,4mio (+3%) et ceux des opérations de commissions à CHF 1,8mio (+28%). Les produits des opérations sur titres (négoce et immobilisations financières), ainsi que les évaluations des positions détenues pour compte propre ont à nouveau progressé grâce au trading et aux progrès des marchés financiers (CHF 8,2mio), quand bien même les effets de change furent négatifs. Les produits sur participations, quant à eux, ont reculé de façon notable (0,6mio vs 8mio), la finalisation du rapatriement des actifs de Bondpartners International ayant généré un dividende final nettement plus modique que l’année passée. Enfin, les frais d’exploitation consolidés sont restés contenus à CHF 6,4mio (-2,5%).

Si 2014 a généralement débuté dans de bonnes conditions, la volatilité boursière a été plus marquée durant la période sous revue et la situation géopolitique/géostratégique s’est dégradée. Le franc suisse a connu, pour sa part, un nouveau renforcement, alors que les opérations de négoce, pour l’instant du moins, ont poursuivi leur accroissement. Sur le plan réglementaire, les pressions fiscales, parmi d’autres, incitent à une certaine prudence et vont indéniablement compliquer la tâche des intervenants.

Contexte et perspective générale

Si la croissance mondiale a été jugée comme relativement décevante en 2013 sur le plan des prévisions, les Etats-Unis et la zone euro, dans une moindre mesure (après 6 trimestres consécutifs de contraction de l’activité), ont néanmoins répondu aux attentes. Ce qui n’a pas été le cas des pays émergeants, traditionnelles locomotives de la croissance économique ces dernières années et ce plus particulièrement pour les BRICS.
Les tensions politiques en Italie, la crise chypriote, les élections en Allemagne et la baisse surprise du taux directeur de la BCE à un nouveau bas historique ont compté parmi les faits marquants en Europe. Aux USA, c’est le suspense autour du relèvement du plafond de la dette et le fameux « tapering » de la Fed qui ont constitué les éléments majeurs. En Suisse, enfin, c’est probablement la poursuite du psychodrame lié au secret bancaire, du moins ce qu’il en reste, et à l’accentuation des pressions fiscales extérieures qui sont à retenir.
Les marchés financiers se sont globalement bien comportés, comme l’année précédente, certains indices ayant même frayé avec leurs niveaux record, alors que les taux directeurs restaient à la cave dans les principaux pays industrialisés. Par contre, sur le plan des matières premières, les métaux précieux ont sensiblement décroché. Sur celui des changes, le franc suisse s’est généralement raffermi contre de nombreuses devises, suite aux problèmes des pays émergeants, même s’il est resté relativement stable contre euro.

Pour Bondpartners, l’année sous revue s’est caractérisée par une nouvelle augmentation des volumes traités, une amélioration pour ainsi dire générale des revenus, à l’exception notable des résultats de change, ainsi qu’une progression des valorisations des portefeuilles titres détenus pour compte propre, malgré les dits effets de change. Il en est résulté un bénéfice net statutaire proche de celui enregistré en 2012 et une hausse des fonds propres.

Marchés des capitaux : Les emprunts d’Etat ont été indéniablement influencé par le raffermissement de la croissance US et l’évocation d’une modération graduelle des injections de liquidités de la Fed. D’autre part, le relatif apaisement des tensions sur les pays « périphériques » européens a favorisé une détente sensible de leurs coûts de financement sur les marchés. Pour ce qui est des obligations de sociétés, la demande est restée forte pour les emprunts de qualité, ainsi que pour ceux jouissant de moins bonnes cotes de crédit. La situation s’est révélée cependant moins favorable pour les obligations exprimées en devises locales des pays émergeants qui ont connu de fortes corrections depuis mai et l’intention avouée de la Fed de réduire ses interventions.
Aussi bien le nombre de nouvelles contreparties que la quantité des transactions ont progressé pour BPL. Les prix des positions obligataires détenues en portefeuilles ont bien résisté malgré les effets de change négatifs et les émissions des pays émergeants.

Changes : L’euro s’est nettement réévalué en 2013, un regain de confiance s’étant exprimé face à un certain retour à la stabilité. La BCE a poursuivi sa politique accommodante qui reste toutefois moins expansive que celle de la Réserve fédérale ou celle de la banque centrale nippone.
Malgré le programme de couverture des principaux actifs détenus en devises, le renforcement du franc suisse contre les dollars US, australien, canadien et néo-zélandais, ainsi que le yen et nombre de monnaies des pays émergeants, a eu des répercussions défavorables sur les évaluations et les résultats de BPL.

Marchés des actions: La bonne tenue des marchés actions a été à nouveau stimulée, comme l’année précédente, par l’action des grands banquiers centraux et par les signaux de croissance ou du moins de reprise, selon la région considérée. Aux Etats-Unis et en Allemagne, les indices ont atteint de nouveaux records. En Suisse également le SMI a progressé de façon dynamique. Ainsi l’indice mondial MSCI a enregistré un gain de plus de 27%. En revanche, là encore, la situation fût différente pour de nombreux pays émergeants qui connurent des performances nettement moins enviables.
Les opérations de commissions enregistrées par BPL se sont améliorées, ainsi que les positions actions détenues pour propre compte.

Pour ce qui est de l’exercice sous revue, les chiffres statutaires qui sont présentés aux actionnaires sont donc plus ou moins en ligne avec ceux de l’exercice précédent à l’exception du montant dégagé, sous forme de dividende, à l’occasion du rapatriement des actifs de la filiale établie à Gibraltar. En effet en 2012, le versement principal atteignait près de CHF 8mio, alors qu’en 2013 le versement final s’élevait à CHF 0,6mio (dans les deux cas ces montants ont été alloués aux correctifs de valeurs et provisions). Pour le reste on constate que les produits sont généralement plus élevés, hormis, comme déjà précisé, les résultats de change qui affichent une perte de CHF 1,3mio, alors que les monnaies émergentes et celles exprimées en dollars connaissaient un net recul contre le franc suisse.

La structure et composition du bilan de Bondpartners sont donc restées stables, les actifs circulants représentant, comme par le passé, plus de 90% de la somme de celui-ci et couvrent plus de deux fois le total des fonds étrangers. Le montant global des provisions et réserves, sur une base consolidée, dépasse CHF 85mio. Le surplus de couverture est toujours largement supérieur au total des fonds propres nécessaires, selon l’Ordonnance sur les Banques, et les capitaux de la Société garantissent amplement le respect des exigences et dispositifs prudentiels imposés par l’autorité de surveillance (FINMA).

Le premier trimestre de 2014 a connu, partiellement du moins, une poursuite du regain d’optimisme entamé mi-décembre, dans son cycle court, et depuis la fin de l’été 2011, dans son cycle à moyen terme. Cette belle constance s’est vue toutefois perturbée par une reprise certaine de la volatilité imputable à la situation économique des pays émergeants et, plus récemment par la crise en Ukraine. Les signaux d’une correction se sont multipliés ces derniers mois et incitent à un certain scepticisme, quand bien même le volume d’affaires a augmenté et les résultats hors effets de change sont équilibrés. Toujours au sujet des changes, il est à relever que notre monnaie nationale s’est encore sensiblement raffermie à l’égard de la plupart des devises. Ceci a quelque effet néfaste, comme en 2013, sur les résultats et les avoirs, malgré les opérations de couverture et pourrait à nouveau nécessiter un ajustement des niveaux de risques et d’engagements.

Comptes et données chiffrées

Comptes individuels au 31.12.2013:

AU BILAN

Le total de bilan s’établit à CHF 147,8mio, soit une hausse de 8%, principalement attribuable à l’accroissement des créances sur les banques et, dans une moindre mesure, à l’appréciation des portefeuilles titres détenus pour compte propre.
Au chapitre des actifs, les liquidités ont reculé de 84% à CHF 3,6mio, suite au reclassement comptable de Postfinance en tant que banque. Les avoirs en banques à vue et à terme atteignent dès lors un total de CHF 61,5mio (+102%) et les avoirs auprès des correspondants s’élèvent à CHF 8,1mio (-11,5%). Il en résulte une augmentation de 74,5% des créances sur les banques qui se montent, dès lors, à CHF 69,6mio. Pour leur part, les créances sur la clientèle et les contreparties non bancaires diminuent de 34,5% à CHF 3,9mio. Ensuite, sur le plan des titres détenus en positions, le portefeuille de négoce progresse de 3% à CHF 48,5mio et celui d’immobilisations financières croît de 5% à CHF 12,6mio, le total de ces deux postes avoisinant CHF 61mio (+3,5%). L’actif circulant se ramène à près de CHF 138,3mio (+8,5%) représentant 93,5 % du bilan, un pourcentage stable par rapport aux exercices précédents, alors que l’actif immobilisé, constitué pour une grande part de deux bâtiments propriété de la Société (total terrain 4 625 m2), reste identique pour un chiffre un peu supérieur à CHF 9mio.
En ce qui concerne les passifs, les engagements envers les banques (transactions pendantes avec ces dernières, en date du bouclement, à mettre en parallèle avec les avoirs auprès des correspondants, soit un solde net négatif de CHF 0,12mio) s’élèvent à CHF 8,2mio (-5%). Sur le plan des engagements envers la clientèle (total CHF 52mio, soit +21%), les comptes courants créanciers à vue, hors établissements non bancaires, s’établissent à CHF 47,3mio (+29%) et les autres engagements (hypothèques sur les deux bâtiments précités) à CHF 2,9mio (inchangé). Le total des correctifs de valeurs et provisions, ajouté aux comptes de régularisation, a avancé de 5% à CHF 32,3mio, partiellement grâce au versement du dividende final de la filiale établie à Gibraltar (voir plus bas les commentaires sur les comptes de groupe). Les réserves pour risques bancaires généraux sont inchangées à CHF 11,4mio et les autres réserves, y compris la réserve légale générale et celle pour propres actions, atteignent CHF 34,7mio (+2%). Le total des fonds étrangers s’inscrit à CHF 60,3mio (+17%) et celui des fonds propres individuels à CHF 55mio (+1,5%) soit 37% du bilan statutaire.
Les standards prudentiels préconisés par le Comité de Bâle sont amplement remplis. Les fonds propres déterminants, sur une base individuelle, s’établissent à CHF 71,4mio et les besoins en capitaux à CHF 14,1mio, soit un surplus de CHF 57,3mio. Le ratio de solvabilité de base (Tier 1) s’élève à près de 29% et celui incluant également les réserves latentes (Tier 1+2) est proche de 43,5%.

AU COMPTE DE PROFITS ET PERTES

Le bénéfice net publié de la société mère est resté relativement stable à CHF 2,5mio (-4%). Le total des produits ordinaires s’établit à CHF 12,6mio (+6%), hors résultat de change et produit des participations. A ce sujet, il convient de rappeler que, l’année dernière, le rapatriement des actifs de Bondpartners International Gibraltar avait dégagé un produit de CHF 8mio. En 2013, la finalisation de cette même opération a généré, quant à elle, un produit bien moindre de CHF 0,6mio.
Pour ce qui est du résultat de change, une perte de CHF 1,3mio a été enregistrée. Elle est principalement imputable au renforcement de notre monnaie nationale à l’égard de nombreuses devises (dont l’USD, AUD, CAD, JPY, NOK, TRY et ZAR).

Les résultats des opérations sur titres (transactions et évaluations liées aux portefeuilles de négoce et d’immobilisations financières) atteignent CHF 8,2mio (+2,5%), les volumes s’étant développés de près de 13%, dans un contexte d’illiquidité obligataire encore présente. Le résultat brut des opérations d’intérêts est plus ou moins régulier à CHF 2,4mio (+2%) malgré un environnement de taux, en général, toujours excessivement bas. Le résultat brut des opérations de courtage a progressé de 28% pour s’établir à CHF 1,8mio, traduisant les bonnes performances de la plupart des marchés boursiers. Les charges d’intérêts et de commissions, frais de compensation inclus, s’élèvent globalement à CHF 0,8mio, montant en baisse de 6% par rapport à l’exercice précédent. Le total des charges d’exploitation a reculé de 2 % à CHF 6,4mio. Le bénéfice brut se ramène ainsi à CHF 4,7mio (2012 : CHF 12,4mio, produit des participations inclus). Enfin, sur le plan des correctifs de valeurs et provisions, un montant de CHF 1,5mio a été nouvellement constitué à charge du compte de résultat afin de poursuivre le renforcement des réserves pour risques.

Comptes consolidés au 31.12.2013:

Le total de bilan consolidé a progressé de 8% pour atteindre CHF 142,5mio. Généralement les chiffres sont similaires à ceux de la maison-mère par le jeu des écritures de consolidation et par le fait que toutes les participations sont dormantes, toutefois leur présentation diffère selon le principe « d’image fidèle ». A signaler, à ce sujet, qu’à l’instar de l’exercice précédent, le produit dégagé par la contribution exceptionnelle versée par notre filiale à Gibraltar est dès lors éliminé (dividende inter-société de CHF 0,6mio).
L’actif circulant s’établit à CHF 134mio (+8,5%), soit 94% du bilan et les fonds étrangers à CHF 57,5mio (+18,5%). Les capitaux propres du groupe s’élèvent à CHF 76,7mio (+1,5%) à savoir 54% du bilan. A ce sujet, il convient de rappeler que les propres actions détenues par la Société sont portées en déduction des fonds propres (soit CHF 4,3mio), ainsi que les provisions pour impôts latents (soit CHF 6,7mio). Leur réintégration amènerait les réserves et provisions à un total de près de CHF 84,5mio. Le bénéfice brut s’établit à CHF 4,2mio (vs 5mio en 2012), alors que le bénéfice net publié s’inscrit à CHF 1,98mio (vs -4,7mio en 2012), suite à l’élimination de dividende intra-groupe décrite plus haut.

Tableau des chiffres annuels au 31.12.13/31.12.2012
(Comptes révisés selon normes DEC/FINMA)

Compte de résultat individuel

31.12.2013 (CHF)

31.12.2012 (CHF)

Résultat des opérations de négoce de titres (opérations/valorisations des portefeuilles de négoce et d’immobilisations financières, à l’exclusion des intérêts et dividendes) 8.214.923,- 7.988.959,-
Résultat de change -1.283.486,-  -142.751,-
Produit des participations 575.000,- 7.971.500,-
Résultat des opérations de commissions 1.766.672,- 1.382.808,-
Résultats des opérations d’intérêts (net) 2.049.627,- 1.830.428,-
Total des charges d’exploitation -6.354.682,- -6.471.001,-
Bénéfice brut 4.699.831,- 12.355.244,-
Correctifs de valeurs, provisions et pertes -1.478.096,- -8.760.608,-
Produits/charges extraordinaires  54.917, 94.119,-
0,- -246.702,-
 Bénéfice net 2.483.650,- 2.590.701,-

Bilan individuel

31.12.2013 (CHF)

31.12.2012 (CHF)

ACTIFS

Liquidités et créances sur les banques 73.161.982,- 62.180.595,-
Créances sur la clientèle 3.961.329,- 6.043.530,-
Portefeuille de titres destinés au négoce 48.540.390,- 47.169.875,-
Immobilisations financières 12.590.869,- 12.016.601,-
Immobilisations corporelles 7.900.000,- 7.900.000,-

PASSIFS

Engagements envers les banques 8.264.210,- 8.676.608,-
Engagements envers la clientèle 52.037.712,- 42.959.735,-
Comptes de régularisation 1.342.000,-  1.287.000,-
Correctifs de valeurs et provisions 30.951.873,- 29.473.777,-
Capital social 5.500.000,- 5.500.000,-
Réserves pour risques bancaires généraux 11.422.572,- 11.422.572,-
Réserve pour propres titres de participation 4.312.877,-  4.255.500,-
Autres réserves 27.687.123,- 27.044.500,-

TOTAUX

Total du bilan 147.841.044,- 136.876.571,-
Total actif circulant 138.254.570,- 127.410.601,-
Total fonds propres  55.019.136,- 54.276.631,-

Comptes consolidés

31.12.2013 (CHF)

31.12.2012 (CHF)

Total du bilan 142.485.087,- 131.841.443,-
Total des fonds propres  76.652.357,-(*) 75.424.953,-(*)
Bénéfice brut 4.233.318,-  5.074.189,-
Bénéfice net 1.975.056,- -4.675.123,-
(*) à l’exclusion de la réserve pour propres actions et de la réserve pour impôts latents

Note à la rédaction : Ce communiqué est diffusé hors des heures d’ouverture de la Bourse Suisse, le 13.03.2014, afin de respecter les principes de publicité événementielle issus du Règlement de cotation émis par celle-ci. Pour le surplus il a été envoyé un jour ouvrable auparavant au SIX Swiss Exchange

A propos de Bondpartners : BPL est une société financière suisse fondée en 1972 à Lausanne, dont les activités s’articulent autour de trois axes principaux : le commerce interprofessionnel de titres, l’entretien et l’animation de marchés, et l’exécution de transactions pour compte de gérants indépendants. Elle est autorisée et surveillée par la FINMA en sa qualité de négociante en valeurs mobilières.

Contact :
Christian Plomb, président exécutif du CA de Bondpartners SA
Tél.: +41 21 613 43 43
E-mail: christian.plomb@bpl-bondpartners.ch